Ce soir ne nous appartient pas

Les étoiles me rappellent que ce soir ne nous appartient pas
Tout disparaît dans le royaume des rêves où tu règnes en souveraine
Les étoiles me rappellent que ce soir ne nous appartient pas
Seuls les draps s’en souviennent
Demain, j’arrête de m'égarer dans la fumée de tes cigarettes
J’finis par être préparé derrière ma prison de paraître
Ce soir ne nous appartient pas, pas, j’peux pas
Ce soir ne nous appartient pas
Je me revois te dire: «Il est si maladroit, ton corps»
Sache que ton regard enflammé m’alla droit au cœur
Il est si dur pour moi de s’approprier
Notre silence, puisque j’ai trop crié
Ça commence par un «oui» d’un commun accord puis nous formons ensemble une
seule unité
Avant que l’on comprenne que ce chemin n’apporte plus aucune clé pour
communiquer
Fin d’semaine, semaine, semaine
Tout se meurt, se meurt
Ce soir ne nous appartient pas, pas, j’peux pas
Ce soir ne nous appartient pas
J’ai des perles de pluie de contrées lointaines
Tu ne pleures depuis qu’on est aimantés
J’ai fermé la parenthèse mais on rêve de s’y apparenter
On s’aime qu'à moitié, on pleure à part entière
L’amour est la seule frontière qui sépare l’entraide de la haine
Encore un soir où t’es pas rentrée
Et même les étoiles en parlent entre elles
Fin d’semaine, semaine, semaine
Tout se meurt, se meurt
Ce soir ne nous appartient pas, pas, j’peux pas
Ce soir ne nous appartient pas
Les étoiles me rappellent que ce soir ne nous appartient pas
Tout disparaît dans le royaume des rêves où tu règnes en souveraine
Les étoiles me rappellent que ce soir ne nous appartient pas
Seuls les draps s’en souviennent
Demain, j’arrête de m'égarer dans la fumée de tes cigarettes
J’finis par être préparé derrière ma prison de paraître
Ce soir ne nous appartient pas, pas, j’peux pas
Ce soir ne nous appartient pas