Lynnsha
Princess Aniès
«Avec Don’t Sleep aux platines»
Solitude, amertume
Et on vit entre regrets et amertume
Ouais, 2003
Don’t Sleep
Mon recueil sème les seules scènes que mon œil saigne
Accueil sec qui cache ses émotions mais que ma feuille saigne
Parce qu’on n’s’aime plus avec un grand M, mais un grand N
Pendant qu’les gangs règnent, toute une génération se gangrène
C’n’est pas les vrais coupables à qui les politiques s’en prennent
Regarde l’extrême s’ancrer sans trêve et contre XXX
Sans crainte, on serre les poings le visage sans pleurs
Malgré qu’nos vies tournent en boucle dans nos rues et nos samplers
XXX toujours la même devise, plus rien à perdre
À terme, on débloque dans des blocs qui nous internent
J’parle cru, m’accroche pendant XXX par la rue
Et croient que la vie défile comme sur leur écran
Mais t’attends quoi d’la street et ses ruelles
Qu’elle t’inflige ses règles strictes et ses duels
Et c’est cruel quand tu vois en elle ton seul recours
Toujours à son secours mais regarde c’qu’elle te donne en retour