De deux choses l’une, deux jambes ou deux yeux
C’est toujours par deux qu’on cherche fortune
Mais blondes ou brunes, à Paris font mieux.
Une égale deux et deux n’en font qu’une.
Ah ! Les p’tites femmes, les p’tites femmes de Paris !
Ah ! Les p’tites femmes, les p’tites femmes de Paris !
Ah ! Les p’tites femmes, les p’tites femmes de Paris !
Au clair de la lune, deux cœurs capricieux
Font à qui mieux mieux, maintes infortunes.
On en invite une, elles viennent à deux.
On invite les deux, il n’en vient aucune.
Ah ! Les p’tites femmes, les p’tites femmes de Paris !
Ah ! Les p’tites femmes, les p’tites femmes de Paris !
Ah ! Les p’tites femmes, les p’tites femmes de Paris !
J’en multiplie une, j’en multiplie deux.
Ah ! Comme c’est fâcheux ! Qu’elles sont importunes !
Dix fois cent fois une, c’est trop périlleux
Par pitié ! Mon Dieu, qu’il n’en reste aucune !
Ah ! Les p’tites femmes, les p’tites femmes de Paris !
Ah ! Les p’tites femmes, les p’tites femmes de Paris !
Ah ! Les p’tites femmes, les p’tites femmes de Paris !
N’ayez pas d’rancune ! Vous serez heureux !
Dites leur-adieu car deux, c’est trop d’une !
La tête y’en n’a qu’une, ah non ! Y’en a deux !
Pour les amoureux, chacun sa chacune !
Ah ! Les p’tites femmes, les p’tites femmes de Paris !
Ah ! Les p’tites femmes, les p’tites femmes de Paris !
Ah ! Les p’tites femmes, les p’tites femmes de Paris !