Emilie

Sur la t? te d’Emilie tombaient fins et droits des fils de soie.
Comme? la sir? ne ils cachaient sa poitrine.
Dire qu’elle ?tait ma promise.
Elle m’aimait et pourtant je devine
Que ce n’est pas partie remise.
Car l’amour est un enfant? go?ste et malhonn? te Qui ne pense qu'? lui, qu'? sa pomme sans se soucier du reste.
Moi je ne suis pas mauvais gar? on loin de l?,
Et pourtant je subis sa loi.
Moi je ne suis pas mauvais gar? on loin de l?,
Et pourtant je subis sa loi.
Sous le nez d’emilie se dessinaient gracieuses
Deux fraises pulpeuses,
Comme? Venus elles? taient d? lectables.
Dire qu’elle ?tait ma promise.
Elle m’aimait et c’est bien regrettable
Que ce ne soit pas partie remise.
Car l’amour est un enfant irresponsable et malhonn? te Qui ne pense qu'? lui, qu'? sa pomme sans se soucier du reste.
Moi je ne suis pas mauvais gar? on loin de l?,
Et pourtant je subis sa loi.
Moi je ne suis pas mauvais gar? on loin de l?,
Et pourtant je subis sa loi.
Sous le front d’Emilie se logeait admirables
Deux perles d’opale,
Comme aux malignes elles brillaient de tendresse.
Dire qu’elle ?tait ma promise.
Elle m’aimait mais je m’en confesse
Que ce n’est pas partie remise.
Car l’amour est un enfant capricieux et malhonn? te Qui ne pense qu'? lui, qu'? sa pomme sans se soucier du reste.
Moi je ne suis pas mauvais gar? on loin de l?,
Et pourtant je subis sa loi.
Moi je ne suis pas mauvais gar? on loin de l?,
Et pourtant je subis sa loi.