Ta chevelure, ton corps

Pister par des jeux de regards demandant le pardon
J’ai hissé cette voile les yeux plein d'étoiles sur l’horizon
Ce paysage que tu regardes, ce paysage que tu dévores
Je tiens à te mettre en garde pour l’avoir faut être fort
Ta chevelure, ton corps
C’est survivre à chaque étape de la vie au pouvoir trop inconnu
Qui souvent surgis à un moment à laqulle on ne s’y attendait plus
Trop d’imprévus, la blle et loufoque vie à un goût de déjà vu
Trop de têtus qui ne pensait que la vie est belle quand elle est bienvenue
Aux moments intenses de ta vie ou ta vie en perd son sens
Aux mauvaises essences qui ont carburé ton incandescence
Je regardais toujours ton visage admirer la vie que regardais tant avec
émerveillement
Comment as-tu fait pour vivre heureux après tout ce que tu as vécu
Ce que tu as vaincu, tu as fait le trajet d’un avion en étant un véhicule
Tu as pris du recul, t’avances, tu recules, mais t’avances tout de même
J’aurais dû prendre le recul, ton chemin, ton exemple même
Et tu regardes par la vitre tu es toute gaga devant tant de beauté naturelle
Des arbres, des tas de verdures entouré d’un rayon de soleil
Tu es presque en train de dormir t’es à moitié dans tes rêves
Peut-être en réalisant que tes rêves, c'était peut-être de changer de façon de
vivre, au fait
Le parcours, il n’est pas long, il est gigantesque
Elle n’en dit pas long, elle a vécu rien de bon, elle est tout ce que j’aime
Elle n’est pas modeste, elle est naturelle
Elle conteste quand ça la vexe
Tu ne peux pas teste, elle est trop belle
Je pouvais faire une similitude entre ce paysage et ton visage
Les deux étaient magnifiques à voir et j’envisage d’en faire un tissage
Ton regard, c'était le ciel, un rayon de soleil
Ton visage, c'était du miel, un million de pareils
Pister par des jeux de regards demandant le pardon
J’ai hissé cette voile les yeux plein d'étoiles posés sur l’horizon
Ce paysage que tu regardes, ce paysage que tu dévores
Je tiens à te mettre en garde, c'était ta chevelure et ton corps