La valse à cent ans

Quand viendra le jour, mon amour,
où nous serons vieux, tous les deux
en l’an 2050, à l’heure des mains tremblantes
je retrouverais dans tes yeux,
la même fille,
le même feu
ce n’est que sur ns visages,
que les années laissent les traces de leur passage,
nos coeurs auront 20 ans,
eternellement…
quand nos cheveux blonds seront blancs.
et les moments longs sur les bancs,
quand nous serons deux fossiles, ainsi soit-il,
je retrouverais dans ton rire,
pourquoi je vis
et je respire.
ce n’est que sur nos visages,
que les années laissent les traces de leur passage,
nos coeurs auront 20 ans,
eternellement…
figé tel un tableau, une vieille peinture à l’eau,
notre seul retour magnéto sera l’album photo,
en tournant les pages, à chaque nouvel âge,
tes yeux feront le voyage
sur chacun de tes nouveaux visages.
ce n’est que sur nos visages,
que les années laissent les traces de leur passage,
nos coeurs auront 20 ans,
eternellement…
(Merci à Clement pour cettes paroles)