Le regard froid, les yeux fermés, dans la ville, tu perds des potes
Dans la nuit, t’as plus d’repères, y a que ma famille qui m’porte et tout ira
bien, j’espère
Jusqu'à la muerte, j’suis dedans, encore inerte après l’coup d’feu
Jusqu'à la muerte, j’suis dedans, encore inerte après l’coup d’feu (tu-tu-tu-tu)
Les sirènes de la police (les sirènes de la police), toute la nuit,
retentissent (toute la nuit, retentissent)
Les sirènes de la police (les sirènes de la police), toute la nuit,
retentissent (toute la nuit, retentissent)
À la vie, à la mort (à la vie, à la mort), à la vie, à la mort (à la vie,
à la mort)
À la vie, à la mort (à la vie, à la mort), à la vie, à la mort (à la vie,
à la mort)
Les sirènes de la police (les sirènes de la police), toute la nuit,
retentissent (toute la nuit, retentissent)
Les sirènes de la police (les sirènes de la police), toute la nuit,
retentissent (toute la nuit, retentissent)
À la vie, à la mort (à la vie, à la mort), à la vie, à la mort (à la vie,
à la mort)
À la vie, à la mort (à la vie, à la mort), à la vie, à la mort (à la vie,
à la mort)
Les sirènes de la police (les sirènes de la police), toute la nuit,
retentissent (toute la nuit, retentissent)
Les sirènes de la police (les sirènes de la police), toute la nuit,
retentissent (toute la nuit, retentissent)
À la vie, à la mort (à la vie, à la mort), à la vie, à la mort (à la vie,
à la mort), double binks
À la vie, à la mort, ma souffrance comme armure, j’ai plus le temps de dormir
Ils se rabattent vers moi, quand pour eux, tout est fermé
Et mon cœur demeure toujours abîmé, impossible de rembobiner
Fasciné par Ze Pequequ' et Tony M, rassuré quand j’vois l’sourire de ma mère,
menotté, j’vais rien dire à ces bâtards
On se bat pour y arriver, pas d’rivaux et on prie Dieu pour ne plus jamais
dériver
On augmente les tarifs, on les terrifie, c’est peut-être le casse du siècle
qu’on planifie
Argent plastifié mais faut pas s’y fier comme celui qui fait l’ancien devant
les filles
Quatre saisons, fin de mission, trop d’ambitions, rêve accompli,
j’suis au charbon même en temps d’pluie
Mais j’en peux plus, y a les bleugeus qui nous bloquent, pas de blague,
que des «paw-paw», c’est le pe-pom (pe-pom)
J’ai connu pire mais on s’en sort, tu sais, le mauvais chemin, j’ai du mal à
l’dévier (dévier)
Te confie pas trop ou ils sauront comment te faire chuter
Jusqu'à la muerte, j’suis dedans, encore inerte après l’coup d’feu
Jusqu'à la muerte, j’suis dedans, encore inerte après l’coup d’feu (tu-tu-tu-tu)
Les sirènes de la police (les sirènes de la police), toute la nuit,
retentissent (toute la nuit, retentissent)
Les sirènes de la police (les sirènes de la police), toute la nuit,
retentissent (toute la nuit, retentissent)
À la vie, à la mort (à la vie, à la mort), à la vie, à la mort (à la vie,
à la mort)
À la vie, à la mort (à la vie, à la mort), à la vie, à la mort (à la vie,
à la mort)
Les sirènes de la police (les sirènes de la police), toute la nuit,
retentissent (toute la nuit, retentissent)
Les sirènes de la police (les sirènes de la police), toute la nuit,
retentissent (toute la nuit, retentissent)
À la vie, à la mort (à la vie, à la mort), à la vie, à la mort (à la vie,
à la mort)
À la vie, à la mort (à la vie, à la mort), à la vie, à la mort (à la vie,
à la mort)
Les sirènes de la police (les sirènes de la police), toute la nuit,
retentissent (toute la nuit, retentissent)
Les sirènes de la police (les sirènes de la police), toute la nuit,
retentissent (toute la nuit, retentissent)
À la vie, à la mort (à la vie, à la mort), à la vie, à la mort (à la vie,
à la mort), double binks